COVID-19 CONGRESSIONAL COMMITTEE REPORT, ONE WEEK LATER

Editorial by: Richard G (EN/FR)

It has now been a little over one week since the American Committee on Oversight and Accountability released its final report on the COVID-19 crisis, moral panic, or absurd theatrical showcase of global corruption—take your pick. Without diving too deeply into the details, here are just a few of the highlights and, consequently, the conclusions we can infer:

- The COVID-19 mitigation measures in the USA (and similarly in Canada and much of the Western world) were based on fabrications, junk science, and outright nonsense.

- The consequences of these measures were grave, significantly worse than the impacts of COVID-19 itself.

- COVID-19 likely originated in the Wuhan lab as a result of gain-of-function research.

- The so-called truckers, conspiracy theorists, racists, misogynists, anti-vaxx science deniers, conservatives, and right-wing extremists were, for the most part, correct about everything.

To view the complete report, click here.

Given the conclusions of this bipartisan Congressional report, released under the Biden administration, not Trump’s, what has been the fallout within your social circles? Have we seen mass apologies for how so-called conspiracy theorists like us were treated? Has anyone come forward to admit they were wrong about their actions or behavior? Or has it simply been more of the same?

Of course, we had to enforce mask mandates, curfews, lockdowns, and vaccine mandates.

Of course, people had to lose their jobs, their homes, and sometimes even their children over mask and vaccine mandates.

Of course, we had to conform blindly to egregiously anti-constitutional, tyrannical policies that weren’t rooted in science, logic, or reason.

Of course, we had to maintain a perpetual atmosphere of sheer panic and fear, leading many to distrust one another and sever long-standing relationships.

Of course, we had to do all of this because the government did its best. How could they possibly have known these measures would be so detrimental to human health and well-being? Surely, they acted in good faith, and we simply must give them the benefit of the doubt.

I wonder: what percentage of the adult Canadian population actually believes this line of nonsense? It seems this entire fiasco was allowed to unfold as it did because a majority of Canadians (and about half of Americans) lack a moral center, the capacity for independent discernment, and the genuine empathy—not the hollow virtue-signaling—required to understand the consequences of divisive behavior.

And so, here we are. It’s the end of 2024. Despite overwhelming evidence vindicating the significant minority of North Americans who refused to subscribe to this dogmatic, technocratic management of our woefully infantilized society, virtually no one has come forward to atone. We’ll just continue pretending our friends, family, and neighbors didn’t ostracize us, divide us, shame us, call for our incarceration, or even celebrate our expected deaths. Courts won’t hear our cases despite irrefutable evidence of wrongdoing and corruption. Instead, they will continue to shield the State, at least in Canada. Public health actors, bureaucrats, and media personalities won’t be held accountable for their behavior, despite the untold damage they caused. No governments, corporations, or employers will face consequences for vaccine injuries, despite coercing people to take injections under significant duress. Large pharmaceutical companies like Pfizer and Moderna will go on unimpeded as they continue to reap the financial rewards of their unethical, arguably psychopathic business practices.

Nothing else will happen. And that’s why I question whether there is anything left to fight for in this oversized, undereducated colony we call Canada. Our relatively small group of ‘freedom fighters’ in Canada fought long and hard through legal battles, protests, civic action, publications, and more. Yet it all seems to pass unnoticed by a majority of State apologists who wouldn’t stand up for their rights even if their lives depended on it. How do you fight apathy? Of what use is the intellectual battle when so few are even capable of grasping the catastrophic results of their attitudes?

Sadly, it feels like nothing will bring us together as a cohesive, educated, and vigilant citizenry. The masses flock to their preferred political teams rather than examining facts with a keen, critical eye. We have relinquished our ability to stand up for our rights, delegating those difficult tasks to bureaucrats and elected leaders. Even when those bureaucrats and leaders fail us miserably, significant numbers of us continue to place blind trust in ‘experts,’ surrendering the last vestiges of human autonomy to an uncaring machine. We remain polarized, divided, and far from a true model of understanding, empathy, and accountability.

On the bright side, at least we know we’ve been vindicated. But, then again, did we really need a Congressional report to tell us that?

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RAPPORT DU COMITÉ DU CONGRÈS AMÉRICAIN SUR LA COVID-19, UNE SEMAINE PLUS TARD

Éditorial par : Richard G

Cela fait maintenant un peu plus d’une semaine que le Committee on Oversight and Accountability Américain a publié son rapport final sur la crise de la COVID-19, la panique morale ou l’absurde démonstration théâtrale de la corruption mondiale – à vous de choisir. Sans entrer trop dans les détails, voici quelques-uns des points saillants et, par conséquent, les conclusions que nous pouvons en déduire :

- Les mesures de santé publique pour freiner la propagation de la COVID-19 aux États-Unis (et de même au Canada et dans une grande partie du monde occidental) étaient fondées sur des fabrications, des fausses données scientifiques et des absurdités pures et simples.

- Les conséquences de ces mesures ont été graves, bien pires que les impacts de la COVID-19 elle-même.

- La COVID-19 est probablement née dans le laboratoire de Wuhan à la suite de recherches sur le gain de fonction.

- Les soi-disant camionneurs, complotistes, racistes, misogynes, négateurs de la science, anti-vaxx, conservateurs et extrémistes de droite avaient, pour la plupart, raison sur tout.

Pour consulter le rapport complet, cliquez ici.

Compte tenu des conclusions de ce rapport bipartisan du Congrès, publié sous l’administration Biden, et non sous celle de Trump, quelles ont été les retombées dans vos cercles sociaux ? Avons-nous assisté à des excuses massives pour la façon dont les soi-disant complotistes comme nous ont été traités ? Quelqu’un a-t-il admis avoir eu tort dans ses actions ou son comportement ? Ou la vie se poursuit-elle tout comme avant ?

Bien sûr, nous avons dû imposer des mandats de masque, des couvre-feux, des confinements et des mandats de vaccination.

Bien sûr, des gens ont dû perdre leur emploi, leur maison et parfois même leurs enfants à cause des mandats de masque et de vaccination.

Bien sûr, nous avons dû nous conformer aveuglément à des politiques flagrantes, anticonstitutionnelles et tyranniques qui n’étaient pas fondées sur la science, la logique ou la raison.

Bien sûr, nous avons dû maintenir une atmosphère perpétuelle de panique et de peur, conduisant beaucoup de gens à se méfier les uns des autres et à rompre des relations de longue date.

Bien sûr, nous avons dû faire tout cela parce que le gouvernement a fait de son mieux. Comment pouvaient-ils savoir que ces mesures seraient si néfastes pour la santé et le bien-être humains ? Ils ont certainement agi de bonne foi, et nous devons simplement leur accorder le bénéfice du doute.

Je me demande : quel pourcentage de la population adulte canadienne croit réellement à ces absurdités ? Il semble que tout ce fiasco ait pu se dérouler comme il l’a fait parce qu’une majorité de Canadiens (et environ la moitié des Américains) manquent de centre moral, de capacité de discernement indépendant et d’empathie authentique – et non de fausse vertu creuse – nécessaires pour comprendre les conséquences d’un comportement aussi dommageable.

Et nous voilà donc ici. Nous sommes à la fin de 2024. Malgré des preuves accablantes donnant raison à la minorité importante de Nord-Américains qui a refusé d’adhérer à cette gestion dogmatique et technocratique de notre société terriblement infantilisée, pratiquement personne ne s’est manifesté pour se racheter. Nous continuerons simplement à faire comme si nos amis, notre famille et nos voisins ne nous avaient pas ostracisés, divisés, humiliés, réclamés notre incarcération ou même célébré notre mort attendue. Les tribunaux n’entendront pas nos causes malgré les preuves irréfutables de méfaits et de corruption. Au lieu de cela, ils continueront de protéger l’État, du moins au Canada. Les acteurs de la santé publique, les bureaucrates et les personnalités des médias ne seront pas tenus responsables de leur comportement, malgré les dommages incalculables qu’ils ont causés. Aucun gouvernement, aucune entreprise ni aucun employeur ne subira de conséquences pour les blessures causées par les vaccins, même s’ils obligaient les gens à se faire injecter des vaccins sous une forte contrainte. Les grandes sociétés pharmaceutiques comme Pfizer et Moderna continueront sans entrave à récolter les fruits financiers de leurs pratiques contraires à l’éthique et vraisemblablement psychopathes.

Rien d’autre ne se produira. Et c’est pourquoi je me demande s’il reste quelque chose à défendre dans cette colonie surdimensionnée et sous-éduquée que nous appelons le Canada. Notre groupe relativement restreint de « combattants de la liberté » au Canada a mené une lutte longue et acharnée, au travers de batailles juridiques, de manifestations, d’actions civiques, de publications, etc. Pourtant, tout cela semble passer inaperçu aux yeux d’une majorité de défenseurs de l’État qui ne défendraient pas leurs droits même si leur vie en dépendait. Comment lutter contre l’apathie ? À quoi sert la bataille intellectuelle lorsque si peu de gens sont capables de saisir les conséquences catastrophiques de leurs attitudes ?

Malheureusement, il semble que rien ne nous rassemblera en tant que citoyens cohérents, instruits et vigilants. Les masses se rassemblent autour de leurs équipes politiques préférées plutôt que d’examiner les faits avec un œil critique et aiguisé. Nous avons renoncé à notre capacité de défendre nos droits, déléguant ces tâches difficiles aux bureaucrates et aux dirigeants élus. Même lorsque ces bureaucrates et ces dirigeants nous font lamentablement défaut, un nombre important d’entre nous continuent à faire aveuglément confiance aux « experts », abandonnant les derniers vestiges de l’autonomie humaine à une machine insensible. Nous restons polarisés, divisés et loin d’un véritable modèle de compréhension, d’empathie et de responsabilité.

Le bon côté des choses, c’est que nous savons au moins que nous avons été justifiés. Mais, encore une fois, avions-nous vraiment besoin d’un rapport du Congrès pour nous le dire ?